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Titre :	La polka de mes parents
Compositeur(s) et-ou auteur(s) :	Georges, Raoul ; Dufleuve [Edmond Bouchaud]
Interprète(s) :	Charlus [Louis-Napoléon Defer]
Genre :	Café-concert
Fichier audio :
Photo(s) :
Support d'enregistrement :	Disque
Format :	26 cm saphir étiquette (enregistrement acoustique)
Lieu d'enregistrement :	Paris, France
Marque de fabrique, label :	Pathé
Numéro de double-face :	4699
Numéro de catalogue :	1903
Instruments :	chant homme, orchestre acc.
État :	Exc++
Vitesse (tours/minute) :	78
Matériel employé au transfert :	Stanton 150, pointe 1,7ET sur Shure M44G, Elberg MD12 : courbe flat, Cedar X, declick, decrackle, dehiss
Date du transfert :	05-04-2022
Commentaires :	Texte du contenu ci-dessous.
Texte du contenu :	La polka de mes parents Création : René Danvers - reprises : Zéphir, Foriès, Darlus, Sousol, Bernardet, Frenchy, Gaillard, Tenet, Charlus Paroles : Bouchaud dit Dufleuve - Musique : Raoul Georges - Éditeur : Marcel Labbé, Paris Papa était comme maman Musicien plein de talent Papa jouait des castagnettes Et maman d' la clarinette Le soir qu'ils m'ont fabriqué C'est eux qui m' l'ont expliqué Ce soir-là avec entrain Ils jouaient Viens, poupoule, viens {Refrain :} Et moi, pendant c' temps-là Je dansais la polka La polka qu' papa La polka qu' maman Jouaient sur leurs instruments Et moi, pendant c' temps-là Je dansais la polka La polka d' mes pa La polka d' mes rents La polka d' mes parents Quand j' commence à gigoter Je ne peux plus m'arrêter Ça m' fait faire un tas d' bévues Hier ça m'a pris dans la rue J'écrasais tout en sautant Les pieds de tous les passants Qui m' traitaient le long du ch'min D'andouille, d'idiot et d' crétin {au Refrain} Je m' suis marié dernièr'ment Le soir des noces, en rentrant J'ai voulu prendre à mon ange Sa jolie p'tite fleur d'orange Mais en sautant comme un fou J'ai rien pu lui prendre du tout Si bien qu' c'est l' garçon d'honneur Qui a pris sa jolie fleur {au Refrain} J' n'ai pas d' chance assurément J'ai perdu tout dernièr'ment Ma tendre et bonne belle-mère Qu'était douce comme une panthère Au cim'tière la r'conduisant J' voyais pleurer tous les gens Les hommes, les femmes, les moutards Même les ch'vaux du corbillard {au Refrain}